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Actuellement situés entre la latitude de Buenos Aires en Argentine et celle de Rio de Janeiro au Brésil, les deux leaders n’auront pas de temps à accorder au tourisme et aux célèbres plages de Copacabana ou Ipanema.
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Le mano a mano de MACIF et de Banque Populaire est-il en train de prendre un coup dans l’aile ? Depuis hier après-midi, la progression vers le nord de François Gabart est bien plus fluide que celle de son camarade de jeu.
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C’est donc vers un ravitaillement en gazoil en mer, par l’intermédiaire d’un bateau, que s’orientent aujourd’hui Bernard Stamm et le Team Cheminées Poujoulat. Cette solution est en effet celle qui
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Le cap Horn se fait désirer. Depuis la dernière porte obligatoire du parcours, les marins en rêvent. Doubler ce cap mythique est synonyme de retour au bercail, d’un rapprochement avec la civilisation, même s’ils le savent
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Il reste aux leaders moins de 25% du parcours à accomplir. Mais ont-ils fait le plus dur ? Pour l’instant, cette remontée de l’Atlantique Sud est tout sauf une sinécure. La sortie du Pacifique n’est pas non plus une
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Au près dans du vent fort, les compères de tête (François Gabart, Armel Le Cléac’h et Jean-Pierre Dick) s’adonnent à leur jeu favori : la régate. Le skipper de Banque Populaire a osé tirer un bord de plus vers
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Sur chaque portion du parcours, c’est la guerre. Au près dans l’Atlantique pour les leaders, au portant dans le Pacifique pour les chasseurs. Pour Bernard Stamm, il s’agit de ne pas abandonner le champ de bataille et de
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Peu avant 14 heures, ce dimanche, le skipper de Cheminées Poujoulat a rallumé ses instruments de communication pour contacter la terre afin de faire un rapide point sur sa situation. Navigant actuellement dans 35 à 40 nœuds