Plus de 70 unités pour la 5e édition

© Tim Wright / Les Voiles de Saint-Barth

Du 14 au 19 avril 2014, Saint Barthélemy accueillera la cinquième édition des Voiles de Saint-Barth. Plus de 70 voiliers et 1 000 marins sont attendus pour l’événement, devenu en quatre éditions un rendez-vous incontournable des Caraïbes. Armateurs, marins et partenaires ne s’y trompent pas. Les partenaires historiques sont d’ailleurs rejoints cette année par Veuve Clicquot, la Maison de champagne de renommée mondiale.

Cette année encore, il y aura du beau monde à Saint-Barth. Cinq mois avant le premier coup de canon, on dénombre déjà 40 inscriptions réparties dans les cinq classes proposées : Maxis, Spinnakers, Non Spinnakers, IRC 52 et Multicoques. « C’est une progression, oui, d’ordinaire à cette époque nous n’avons qu’une trentaine de préinscriptions. Je pense donc que nous pouvons raisonnablement espérer plus de 70 bateaux au départ », estime François Tolède, organisateur des Voiles de Saint-Barth avec Luc Poupon.

Rambler, Bella Mente, Ocean Phenix, Caol Ila R…
Performance en mer et convivialité à terre, dans le magnifique écrin de Saint-Barthélémy : le concept attire les plus belles unités du monde. Parmi elles, Rambler, le célèbre Maxi-Yacht de George David a déjà annoncé son retour. Cette année encore on pourra admirer l’élégance et la vitesse de ce plan Reichel-Pugh de 90 pieds. Selene, le Swan 80 de Wendy Schmidt sera là également, ainsi qu’Ocean Phenix, le Hymphreys 77 espagnol skippé par Juan Luis Serra Lalaurie. Chez les Maxi toujours, on pourra admirer pour la première fois Bella Mente, le mini-maxi (plan Judel/Vrolijk) de Hap Fauth, avec ses 26 hommes de bord, dont Mike Sanderson et Dee Smith, héros de la Volvo Ocean Race et de l’America’s Cup. Un de leurs grands adversaires sera Caol Ila R : le plan Mills de 68 pieds d’Alex Schaerer s’est fait remarquer cet été en remportant la Rolex Capri Sailing Week Volcano Race, en temps réel et en temps compensé devant… 13 autres maxis.

Un des multiples intérêts de Saint Barthélémy côté régate est… d’être une île. Autrement dit de pouvoir toujours proposer un terrain de jeux où naviguer, plus ou moins exposé à l’alizé. En outre, de nombreux îlots fournissent des marques de parcours idéales que Luc Poupon (directeur de course) et son équipe ne se privent pas d’utiliser, pour le plus grand bonheur des participants et des spectateurs C’est cela aussi qui intéresse ces équipages internationaux, à 70% Anglo-Saxons. De nombreuses nationalités sont d’ailleurs représentées sur les ponts des bateaux et les pontons de Gustavia : Américains, Australiens, Anglais, Espagnols, Néo-Zélandais, Italiens, Belges, Suisses, Français et bien sur de nombreux régatiers de la Caraïbe.

A noter encore que cette cinquième édition des Voiles de Saint-Barth accueillera un joli contingent de TP52, qui naviguent ici sous l’appellation IRC 52. A bord, de grands professionnels de l’America’s Cup et des plus grandes courses internationales en équipage. Le Near Miss de Franck Noël sera un des grands favoris dans cette série très spectaculaire, où les bateaux sont poussés au maximum de leurs impressionnantes performances. Il va y avoir du sport… et il y en aura aussi dans les trois autres classes des « Voiles » : Spinnakers, Non Spinnakers et Multicoques.

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