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  • Morgan Lagravière a terminé 9e de la Transat New York – Vendée en solitaire malgré une avarie qui lui aura fait perdre une quarantaine d’heures. Pas de quoi entamer la combativité du jeune skipper de Safran qui a réussi à remonter une partie de la flotte. Cette performance est une étape capitale à quelques mois du Vendée Globe. Retour sur une expérience riche d’enseignements…

    Sa première course en solitaire à bord de Safran, Morgan Lagravière l’a vécue comme une épreuve difficile mais enthousiasmante, venant confirmer son envie et son ambition pour le Vendée Globe : « La difficulté fait partie de l’exercice et permet ensuite de savourer des moments simples. Mais ce que l’on supporte durant quelques jours, peut te rendre fou pendant 80 jours ! Les mouvements violents du bateau, l’effort physique significatif, l’humidité omniprésente et surtout, ce bruit aigu qui ne s’arrête jamais… Sur cette course j’étais venu chercher des réponses. Qu’est-ce qui peut me permettre d’endurer cela ? Aujourd’hui j’ai trouvé. C’est la compétition !»

    « J’ai renoué avec la compétition »

    Le plus jeune skipper de la course avait fait part de son excitation à l’idée de se mesurer aux meilleurs éléments du circuit IMOCA, ceux qui animeront le prochain Vendée Globe. Quelques heures après le départ, il était contraint de faire escale suite à une collision avec un cétacé et repartait avec 24 heures de retard sur deux autres concurrents également malchanceux, Yann Eliès (Groupe Quéguiner) et Jean-Pierre Dick (St Michel – Virbac).

    « Quand je suis reparti, j’étais très déçu par cette avarie. J’avais peur de faire cette transat isolé, jusqu’à ce que je comprenne que Yann et Jean-Pierre étaient à ma portée. J’ai repris confiance en mon bateau et j’ai compris que j’avais un réel potentiel de performance. Ce fut une révélation. J’ai renoué avec la compétition.»

    « Je suis fier de ce que j’ai fait ! »

    Une course dans la course s’est jouée entre Morgan et les deux ténors. Mené avec talent et courage, le monocoque Safran, pourtant amputé d’un foil, affiche alors une vitesse toujours supérieure à celle de ses concurrents et son skipper démontre une impressionnante régularité dans l’effort. A quelques heures de l’arrivée, Morgan trouve même les ressources pour engager le trio dans un sprint et ne rien concéder jusqu’aux Sables d’Olonne.

    « J’ai toujours été à fond, avec un investissement régulier. Je suis allé les chercher, dans ma tête c’était moi le champion ! Je suis fier de ce que j’ai fait. »

    Cette performance était nécessaire à Morgan à quelques mois du Vendée Globe, ainsi qu’il l’analyse avec lucidité :

    « Je voulais être certain d’être légitime sur un Vendée Globe, et j’avais besoin de comprendre pourquoi je serai au départ. Quand je trouve les éléments qui me passionnent, alors j’ai une envie énorme et elle peut faire la différence. Je ne partirai pas favori mais je sais maintenant que je peux créer la surprise. »

    • Morgan Lagravière gagne en confiance suite à la New York – Vendée •

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    Première course en solo

    La Transat Saint-Barth / Port-la-Forêt marque un tournant dans le parcours de Paul. Jusque là, toutes ses navigations en course, Paul les a effectuées en double avec Michel Desjoyeaux. Même s’il est monté en puissance petit à petit, il va pouvoir mesurer le chemin parcouru.

    « Le départ de saint-Barth était assez étrange. C’était la première fois que je me retrouvais tout seul à bord de SMA. Je me suis dit, autant le jouer à fond, c’est comme ça que j’ai réussi à partir en tête juste devant Sébastien Josse…. Ensuite, on est parti sur quelques jours au travers où Sébastien a fait parler la poudre avec ses foils. Ensuite, quand ça a molli, on a dû passer toute la garde-robe. J’ai été confronté aux premières difficultés, j’ai eu quelques soucis techniques, mais rien de très grave. »

    Quand Seb Josse creuse l’écart

    C’est l’heure des premiers choix stratégiques. L’avance qu’a réussi à prendre Sébastien Josse va se trouver déterminante. Il va pouvoir s’échapper avec la première dépression rencontrée quand tous ses poursuivants vont subir des vents faibles avant une deuxième dépression à la trajectoire beaucoup plus sud. L’élastique se tend entre premiers et derniers.

    « Quand le vent a commencé à rentrer, Sébastien a réussi à se faire un peu la malle. Je m’en sors à peu près, et Morgan qui avait été le seul à suivre le rythme, se fait rattraper par le col anticyclonique derrière le front. Au final, j’arrive à peu près à tenir et quand je ralentis à mon tour, Sébastien a 200 milles d’avance, mais j’en ai 350 sur mon concurrent le plus proche. »

    Mauvais temps : pas de plan B

    Pas d’angoisse particulière à l’approche de la deuxième dépression qui se révèle être très creuse. Paul, qui a réussi à faire du sud, pour se positionner sous le centre de la dépression sait en revanche qu’il va devoir affronter des vents très violents. Mais le skippeur comme le bateau sont parés pour l’épreuve.

    « Quand la deuxième dépression arrive, j’ai réussi à me positionner correctement. Je sais en revanche que je ne vais pas échapper au mauvais temps. Mais, je ne suis pas vraiment inquiet, le bateau est en bon état, j’ai quelques petits soucis techniques, mais rien de grave. En approchant des Açores, j’ai 50 à 60 nœuds de vent, je suis trois ris et trinquette, la voilure minimale depuis deux jours, mais tout se passe bien. »

    L’accident

    Un enchaînement de circonstances, une mauvaise vague, suffisent à faire basculer la course de Paul. Jusque là, le skipper de SMA était dans la maîtrise de son sujet, paré à faire face. En quelques instants, sa blessure le rend incapable de maitriser une machine particulièrement exigeante dans le mauvais temps.

    « A un moment donné, le bateau part un peu au lof dans une survente. Je parviens à le remettre dans sa route, mais je me rends compte que l’étai de J2, essentiel pour la tenue du mât, s’est largué. Du coup, je roule le J3 et je me mets plein vent arrière, pendant une vingtaine de minutes. Je constate que la plage avant n’est pas trop attaquée par les déferlantes. Je décide donc d’aller tenter de refixer le J2, même si je sais que ça va être très compliqué parce que l’étai se balade avec le génois enroulé autour, il est lourd. Je me demande un peu comment je vais faire ça. Quand je vais vers la plage avant, le bateau part dans un surf, puis il enfourne et je suis projeté contre l’étai de J3. Immédiatement, la douleur est très forte. Je suis KO sur le pont. J’arrive à ramper jusqu’à la cabine où je préviens l’équipe de ce qui m’arrive. J’avais vraiment mal, du coup, je décide d’appeler le médecin du centre d’entraînement. Rapidement, on arrive à la conclusion que je ne pourrai pas gérer la situation tout seul. Je décide d’empanner et d’aller me réfugier sous le vent de Sao Miguel où j’espère qu’un bateau, prévenu par mon équipe, pourra venir m’aider. Une fois sous le vent j’ai réussi à dé-hooker la grand-voile, sécuriser un peu la bôme. Mais le bateau de sauvetage est arrivé plus tard que prévu, il faisait nuit et tout était repoussé au lendemain. »

    L’attente et la délivrance

    Les conditions n’ont pas permis que Paul reçoive de l’aide immédiatement. Dès lors, SMA va dériver et s’éloigner progressivement de l’abri de Sao Miguel. L’évacuation de Paul est repoussée au lendemain quand un bateau de la Marine portugaise viendra lui porter assistance, mais l’opération ne se passe pas comme prévue et le drame est évité de justesse.

    « A partir du moment où j’ai compris que l’intervention ne serait pas possible, je me suis préparé pour attendre. Je me disais que les choses n’allaient pas si mal, le bateau dérivait doucement, le mât tenait. De toute façon, je ne pouvais quasiment plus bouger. En rediscutant avec mon médecin, il est apparu évident que j’avais quelque chose de cassé et qu’il fallait gérer mon évacuation. La nuit n‘a pas été trop dure, mis à part le fait que je n’avais pas préparé de nourriture ni d’eau et qu’il a fallu que je me déplace pour aller chercher les sacs qui étaient matossés. Ça a été un moment vraiment difficile : il fallait que je rampe avec ces douleurs dans les côtes… Autre moment pénible, quand j’ai décidé d’enfiler ma TPS. Ça me paraissait indispensable pour ne pas avoir froid et pour préparer au mieux l’évacuation. J’ai enfin réussi à me caler près du téléphone, avec de la nourriture et mes médicaments. J’ai eu peu de contacts téléphoniques avec les sauveteurs portugais. On avait défini un protocole au préalable qui était que je devais gonfler mon radeau de sauvetage, et m’installer dedans pour qu’un hélicoptère puisse venir me récupérer. Finalement, compte tenu de mon état, l’équipe de sauvetage a jugé que ce n’était pas la bonne solution. Il a donc été décidé de venir me récupérer à bord à l’aide d’un semi-rigide et de m’installer sur une civière avec coquille. Quand j’ai joint le bateau de la Marine portugaise par VHF, ils n’étaient pas au courant du fait qu’il me fallait une civière. Du coup, ils sont venus avec un semi-rigide et j’ai dû me trainer sur le pont du bateau pour aller jusqu’au Zodiac où ils m’ont mis dans le fond du bateau. Ensuite, au moment de treuiller le semi-rigide sur le patrouilleur de la Marine, il y a eu une fausse manœuvre et on s’est tous retrouvés dans l’eau. Par rapport à mes blessures, c’est peut-être le moment le plus confortable ! Je flottais dans ma TPS, bien au sec et porté par l’eau de mer, je n’avais pas mal. L’hélicoptère est arrivé une quinzaine de minutes plus tard. Ils ont fini par descendre une civière pour m’hélitreuiller.

    Heureusement, j’avais mentalisé ce moment compliqué pour bien me préparer psychologiquement. J’avais anticipé, car dans tous les briefings sécurité que l’on a avant la course, on apprend une chose, c’est que ça ne se passe jamais comme prévu. C’est important de se dire que quand les secours arrivent, ce n’est pas encore la libération. Il faut toute ta lucidité et toute la force physique dont tu peux disposer. Une fois que j’ai été dans l’hélicoptère, j’ai pu me dire que c’était terminé. »

    Changement de décor

    Pour Paul, il s’agit maintenant de passer par la case hôpital. A Terceira tout d’abord avant d’être transféré en avion sanitaire à Lorient. Aux mains des médecins, il n’est plus acteur de rien alors que son bateau est toujours à la dérive. Un moment délicat à vivre.

    « Tu es dans ton brancard et tu entends l’hélico qui commence à faire route… Là, j’ai évidemment pensé tout de suite au bateau. C’est forcément un moment pas facile même si je sais que l’équipe va faire le maximum pour le récupérer. Avant de partir, j’avais fait attention à bloquer la barre sous le vent, recharger les batteries au maximum, couper tout ce qui prenait de l’énergie sauf l’AIS, de manière à ce que le bateau dérive et reste en bon état.

    Dès que tu arrives à l’hôpital, c’est autre chose qui démarre. Tu étais en TPS, trempé avec des militaires autour de toi et tu te retrouves en une demi-heure dans un lit avec des draps secs, au chaud, en contact uniquement avec des membres du corps médical. Deux heures après mon arrivée, le bilan médical était fait, les nouvelles étaient rassurantes sur mon état. Au final, je suis resté deux jours à Terceira. Ce qui était difficile, c’est que je n’avais pas de moyen de communication. Du coup, ça m’a permis de faire le point sur ce qui s’était passé. Finalement, j’ai été rapatrié directement jusqu’à Lorient. J’y suis resté deux jours avant de rentrer chez moi. »

    Récupérer le bateau, retrouver la santé

    Immobilisé, Paul est malgré tout en contact régulier avec l’équipe de Mer Agitée qui s’active pour récupérer le bateau. Pour lui comme pour le bateau, l’objectif est maintenant d’être de nouveau prêt à naviguer pour le début du printemps. Deux reconstructions parallèles…

    « La situation n’est pas simple : la météo n’est pas bonne, le bateau dérive au large, on est dans la période des Fêtes où toute mobilisation de moyens est plus difficile. Je sais que l’équipe est ultra compétente, et je suis totalement en confiance. Le bateau dérive toujours à la même vitesse, ce qui est le signe qu’il n’a pas démâté. De plus, il dérive plutôt dans la bonne direction. Je suis ça avec attention, on fonctionne beaucoup par mail avec l’équipe.

    En fait, le bateau et moi, on a les mêmes problématiques. On va se retaper tous les deux, en espérant que cela prenne le moins de temps possible. J’espère que fin mars, on sera opérationnel, l’un comme l’autre. Dans quelques semaines, je pourrai poser le pied. Ensuite la rééducation va commencer. Je me dis qu’un sportif de haut niveau doit se préparer à ce genre d’accident. Ce qu’il faut maintenant, c’est avoir la réserve mentale pour commencer la rééducation avec le maximum d’énergie. Quand on revient d’une coupure, on revient toujours un peu plus fort. Cette histoire va nourrir ma motivation. En IMOCA, le mental est fondamental : les bateaux sont tellement durs que c’est celui qui a le plus envie qui se détache. »

    Un bilan positif malgré tout

    Évidemment, la déception sportive est grande. Mais quand on regarde avec lucidité le travail accompli depuis un an, on mesure mieux le chemin qui a déjà été accompli. Cet accident de parcours n’entame pas la solidité du projet.

    « Il n’y a pas d’idée de revanche. On en ressort avant tout avec de l’envie. Ensuite, je n’essaierai pas de bruler les étapes, j’aime bien les choses calées. A ce niveau-là, je me sens proche du discours médical. Mais c’est vrai que j’ai hâte d’être dans quatre à cinq semaines. Je serai content de faire la rééducation, d’en baver même. Mais je serai acteur de ma reconstruction. Là, j’en profite, j’avance sur le travail administratif et logistique.

    Je n’oublie pas non plus tout ce que j’ai appris sur cette Transat. La course s’est arrêtée à moins de trois jours de l’arrivée. J’ai pu vivre la tension de la course, j’ai noté ce sur quoi il fallait que je progresse encore. Compte tenu de l’objectif d’être prêt pour le Vendée Globe, le contrat est en grande partie rempli. Ce n’est pas satisfaisant sur le plan sportif, mais on est globalement dans le tableau de marche qu’on s’était fixé. J’ai réussi à tenir le rythme, je n’avais pas de doute avant de partir. Je sentais qu’avec mon bagage je pouvais faire une belle transat. Avec ce bateau quelque chose s’est créé. »

    Une histoire de confiance

    A quelque chose malheur est bon. L’accident a contribué à renforcer encore les liens entre Paul et son sponsor, à vérifier la solidité de l’équipe, à créer un lien entre le skipper et son bateau.

    « Avec les gens de SMA, j’ai senti à quel point, ils étaient touchés et présents. On s’est rassuré mutuellement sur nos intentions de continuer ensemble. Je suis sûr que les gars vont s’en sortir et qu’on va revenir plus fort encore. Tout le monde est incroyablement motivé, chacun joue son rôle. On a eu un coup dur, mais on va le dépasser. Je suis très content de voir comment tout le monde réagit. Humainement c’est fort. Ma priorité c’est de me remettre sur pied au plus vite. Pour l’équipe c’est de remettre le bateau en parfait état. Chacun va faire son maximum. Je pense que ça va être un grand moment quand je vais remonter à bord. »

    Un happy end

    Après 20 jours à la dérive entre les Açores et l’Irlande, le 60 pieds SMA est finalement récupéré, le 5 janvier, grâce à une double opération menée conjointement par l’équipe de Mer Agitée et sa compagnie d’assurance. A l’abri dans un mouillage du sud-ouest de l’Irlande, le bateau doit être remis en ordre avant d’être rapatrié en France et entrer en chantier pour préparer la saison 2016. Soulagement et satisfaction pour Paul. En à peine plus d’un an, le premier chapitre de l’histoire entre SMA, Paul Meilhat et l’Equipe de Mer Agitée est déjà un concentré extrême d’apprentissages, de sport et d’émotions. Un deuxième chapitre s’ouvre tourné vers l’objectif suprême : le Vendée Globe.

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