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  • Holcim-PRB remis à l’eau à Port-la-Forêt

    Ce jeudi 21 mars, l’IMOCA Holcim-PRB a été remis à l’eau après trois mois de chantier. Depuis l’arrivée de Retour à la Base le 11 décembre dernier, toute l’équipe technique du Team Holcim-PRB travaille à

  • Holcim-PRB en route vers la Martinique

    C’est parti pour la première transatlantique de Nicolas Lunven et Rosalin Kuiper à la barre de Holcim-PRB. Les deux skippers ont quitté Concarneau aujourd’hui à 10h00 pour mettre le cap sur La Martinique. C’est en mode

    6 novembre 2023 • 2024-25, Course au Large, IMOCA, Retour à La Base, Vendée Globe • Vues: 654

  • L’équipage d’Holcim-PRB dévoilé !

    Pour le tour du monde en équipage avec escales, Kevin Escoffier, vainqueur en titre de la Volvo Ocean Race (2017-18), a fait le choix d’être accompagné par des navigateurs expérimentés, mais également par de plus

    27 décembre 2022 • 2023, Course au Large, IMOCA, The Ocean Race • Vues: 603

  • Un nouveau projet porte Kevin Escoffier autour du monde

    C’est la rencontre entre deux sociétés : PRB, entreprise française spécialiste du revêtement de façade et Holcim, groupe international, leader des solutions de construction innovantes et durables, qui a généré

  • Le nouvel IMOCA PRB est arrivé à Lorient

    C’est une étape importante et symbolique dans le projet du nouvel IMOCA PRB. Après plus de 8 mois de construction au sein du chantier Carrington à Southampton en Angleterre, la coque du 60 pieds vient d’être rapatriée à

    28 janvier 2022 • 2024-25, Course au Large, IMOCA, Vendée Globe • Vues: 1011

  • Première rencontre entre Kevin Escoffier et le futur IMOCA PRB

    C’est avec son directeur technique Loïc Féquet que Kevin Escoffier est allé à Hampshire, en Angleterre pour une première visite au chantier Carrington où est construite la coque du futur PRB. Le contexte sanitaire

    18 juin 2021 • 2024-25, Course au Large, IMOCA, Vendée Globe • Vues: 1664

  • Un nouveau PRB pour le Vendée Globe 2024

    PRB est un sponsor historique de la course au large. Engagé dans la voile depuis le Vendée Globe 1992/1993, la marque de Produits de Revêtement de Bâtiment n’a pas raté une édition depuis. Auréolée de deux victoires sur

  • Le 6 novembre prochain, Vincent Riou s’élancera pour son 4ème Vendée Globe. Seul vainqueur au départ de cette édition, le skipper de PRB ne cache pas ses ambitions : s’offrir une seconde victoire sur ce Tour du Monde en solitaire, sans escale et sans assistance. S’il est encore un peu tôt pour avoir les yeux rivés sur la météo, le marin profite de cette semaine de transition pour régler les derniers détails avec son équipe technique et se préparer au quotidien en mer qui l’attend dans 10 jours. Gestion du sommeil, nourriture embarquée, préparation physique, Vincent fait le point.

    Un bateau prêt à partir

    « Il y a dix jours, quand nous avons amarré la bateau, la préparation technique était terminée. Ce convoyage entre Port la Forêt et Les Sables d’Olonne nous a permis de faire les dernières petites validations. L’idée, c’était d’arriver ici avec un bateau prêt. Mon équipe s’occupe avec de petites tâches comme refaire des petites marques sur les cordages. Dès le début de la semaine prochaine, nous embarquerons tout ce dont j’ai besoin pour le Vendée Globe. L’avitaillement sera chargé trois jours avant le départ. PRB sera alors fin prêt à larguer les amarres. »

    Quatre à six heures de sommeil par jour

    « Le sommeil en mer est très différent du sommeil à terre. Sur ce point, le Vendée Globe n’est pas une des courses les plus dures car c’est une compétition très longue qui nécessite de dormir si on veut rester lucide. L’être humain ne peut pas tenir trois mois dans ces conditions sans se reposer un minimum. Pour ma part, j’essaie de dormir entre quatre et six heures par jour. Notre rythme de sommeil est différent et surtout irrégulier. En mer, on dort autant le jour que la nuit. Les périodes de sommeil peuvent durer de 20 minutes à deux heures. En général, je dors une à deux heures rarement plus car il faut veiller sur le bateau et sur la performance. Nous sommes habitués à faire ce genre de cycles. C’est un des points clés dans la discipline.

    On ne peut pas vraiment se préparer à l’avance à peu dormir. Il faut pour cela être fatigué et ressentir la pression de l’environnement et de la course. Avant de partir, je dors beaucoup pour ne pas arriver avec un déficit de sommeil. C’est important pour les premières heures de course. Plus on est en forme, plus on est efficace. La transition entre le sommeil de marin et celui de terrien intervient très vite. C’est une phase un peu complexe mais avec l’expérience, on y arrive assez bien. Du coup, quelques semaines avant le départ d’une course, je fais des siestes. C’est super agréable et ça permet de cumuler du sommeil. »

    Des conserves et de la nourriture lyophilisée

    « Je fabrique l’eau avec un dessalinisateur. J’embarque juste quelques bouteilles d’eau minérale car l’eau qu’on dessale, n’a pas de goût. Il n’y a pas de minéraux dedans. C’est assez particulier mais pour réhydrater l’organisme, c’est parfait. Concernant la nourriture, c’est moitié lyophilisée moitié conserve. L’avitaillement est fait pour un certain nombre de jours et est adapté aux conditions climatiques. Les calories dans une portion journalière ne sont pas les mêmes sous l’équateur que dans les océans australes. Tout est prévu : un sachet par jour avec trois repas, des encas et tout ce qu’il me faut. Les besoins énergétiques et l’alimentation sont des choses que nous commençons à bien maîtriser. Depuis quelques années, il y a une quantité de produits légers, simples et bons qui se sont développés et que nous pouvons embarquer. Se faire plaisir en mangeant quand on est en mer reste pour moi quelque chose d’important. L’avitaillement représente environ 120 kilos. »

    Travailler les muscles de la stature

    « La préparation physique est quelque chose qui a beaucoup évolué. Au début, nous étions des sportifs moins organisés. Maintenant, tous les marins qui viennent chercher la victoire sur le Vendée Globe suivent une préparation physique planifiée et organisée. Ce n’est pas du tout les mêmes objectifs que dans les sports athlétiques traditionnels car pendant nos trois mois en mer, nous ne marchons quasiment pas. Inévitablement, notre condition physique se dégrade. Du coup, notre préparation consiste à travailler les muscles de la stature pour éviter de se blesser car c’est notre ennemi numéro un. En attendant le départ, j’essaie de garder la forme en faisant régulièrement du sport, surf et footing essentiellement.»

    • Se préparer au quotidien en mer •

  • Un Vendée Globe puissance 4 pour Vincent Riou

    Demain, tous les skippers du Vendée Globe seront à Paris pour une ultime présentation aux médias. Un moment symbolique qui sonne comme un dernier appel avant le Tour du Monde Sans Escale et Sans Assistance. C’est encore

    13 septembre 2016 • 2016-17, Course au Large, IMOCA, Vendée Globe • Vues: 2839

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    Alors qu’une tempête a fait rage ce week-end en Bretagne, Vincent Riou en a profité pour faire hier une navigation d’entrainement dans du vent fort. Au large de Belle Ile, le vent atteignant 35 nœuds dans les rafales a

    7 avril 2016 • 2016-17, Course au Large, Divers, IMOCA, Multimedia, Vendée Globe, Vidéo • Vues: 2825