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  • Escale espagnole avant les Sables d’Olonne

    Jean-Pierre Dick est tenace et n’abandonne pas. Le skipper de Virbac-Paprec 3 veut terminer le Vendée Globe en se donnant toutes les chances de réussir. Naviguant sans quille depuis une semaine, il a pris la décision à 21h

    30 janvier 2013 • 2012-13, Course au Large, IMOCA, Vendée Globe • Vues: 2493

  • Alex le bienheureux

    Avec l’arrivée d’Hugo Boss mercredi matin, le podium de ce 7e Vendée Globe est au grand complet. Un petit blond éblouissant, un grand brun étincelant et un Anglais radieux. Tous les trois ont largement explosé le temps

    30 janvier 2013 • 2012-13, Course au Large, IMOCA, Vendée Globe • Vues: 2562

  • Alex Thomson complète le podium

    Alex Thomson a franchi la ligne d’arrivée du Vendée Globe à 08h 25mn 43s, heure française. Il finit à 2 jours 17 heures et 07 minutes de François Gabart. Son temps de course est de 80j 19h 23mn 43s. Sa vitesse moyenne sur

    30 janvier 2013 • 2012-13, Course au Large, IMOCA, Vendée Globe • Vues: 2157

  • Dernier run d’Hugo Boss vers le podium

    Hugo Boss est attendu mercredi matin, autour de 7 heures, dans le chenal des Sables d’Olonne. Comme ses deux prédécesseurs, Alex devra d’abord se coltiner les colères du golfe de Gascogne : des rafales à 40 nœuds et des

    29 janvier 2013 • 2012-13, Course au Large, IMOCA, Vendée Globe • Vues: 2297

  • Thomson : prochain sur la liste

    Dimanche soir, François Gabart et Armel Le Cléac’h ont fêté dignement leur retour parmi les terriens. Aujourd’hui, rançon de la gloire, ils entament un autre marathon : médiatique. Pendant ce temps, la bagarre continue

    28 janvier 2013 • 2012-13, Course au Large, IMOCA, Vendée Globe • Vues: 2227

  • A 18h35, dans les lumières magiques du soleil couchant, Armel Le Cléac’h s’est glissé sur la ligne d’arrivée du Vendée Globe pour la deuxième fois de sa carrière, 3 heures et 17 minutes seulement après le vainqueur François Gabart. Le skipper de Banque Populaire a réalisé une course dense, aux avant-postes, en accord avec ses aptitudes de compétiteur et les performances son bateau. La déception de ne pas avoir réussi à faire mieux qu’en 2009 a vite été effacée par la satisfaction du travail accompli et le bonheur d’être arrivé. C’est donc un Armel le Cléac’h épanoui qui s’est présenté devant la foule dans le chenal des Sables d’Olonne.

    « Ça se termine vraiment bien. J’ai vécu une superbe remontée du chenal avec ce public incroyable. Je pense qu’il y a eu des belles images, mais moi en tout cas, j’en ai plein les yeux. On ne s’habitue pas à cet engouement. J’avais vraiment à cœur d’arriver dans les bonnes heures pour le chenal. J’ai cravaché pour arriver pour le public parce que je savais qu’il y avait beaucoup de monde. C’est fou. »

    Sa dernière nuit

    Il y avait du vent fort la nuit dernière et la mer était assez formée. Il y avait aussi beaucoup de trafic au niveau du cap Finisterre. J’ai un peu slalomé entre les bateaux mais avec l’AIS, ça allait. Un moment dans la nuit, j’ai eu l’alarme qui a sonné. C’était le trimaran d’Oman a croisé un mille devant moi, c’était sympa, surtout que je connaissais les gars.
    Une arrivée plus sereine que quatre ans auparavant
    Le fait d’avoir déjà vécu l’arrivée, on sait à quoi on va être mangé. Même si ce n’est pas la même émotion. La dernière fois, c’était un peu la délivrance en arrivant, car je n’avais plus beaucoup à manger et la météo était très dure. Là, j’étais mieux et ma seule préoccupation était de rentrer au chenal.

    Sa place de deuxième et sa course

    Ma seule déception est ma place. J’étais venu chercher mieux. En partant, j’étais confiant dans le matériel et sur mes capacités pour être aux avants poste. Je savais que j’avais fait une bonne préparation et ça s’est vu pendant la course. La bagarre a été super intense même si Vincent nous a quitté un peu tôt. Une de mes satisfactions a été mon rythme dans le sud. Il y a 4 ans, j’avais été surpris par la dureté et la vitesse des premiers. Cette année, on a imposé le rythme, ça a été très vite et il n’y a pas eu de moment de répits. Quand je passe le cap Horn, je me dis que le parcours qu’on a fait est le bon.

    Où s’est joué la course

    Pour moi la course s’est jouée au large du Brésil et non au cap Horn. J’étais bien revenu sur François après le cap Horn et avant le détroit de Le Maire. Dans le détroit, on était au portant en train de faire des empannages et à un moment dans la nuit, j’ai mon lasching de gennaker qui a cassé, donc impossible de rouler la voile. Il a fallu trouver le moyen de réparer et ça m’a pris deux heures. François ne m’a pas attendu et le lendemain matin, il y avait 20 milles d’écart puis 40 milles. Ensuite je pensais un peu revenir au contact grâce aux petites dépressions. Je sentais qu’il y avait moyen de revenir sur ce petit passage de fronts. Mes routages étaient assez corrects et j’étais assez serein. Mais le vent n’a pas du tout tourné comme je voulais. Quand le vent est revenu comme je voulais, il s’était passé cinq heures. Je pense que la course s’est jouée à ce moment là et aujourd’hui, ça se confirme avec nos trois heures d’écart. Mais c’est le jeu de la course au large et bravo à François.

    Déçu et content malgré tout

    J’aurais préféré gagner, j’étais venu pour ça et j’avais beaucoup travaillé pour. La déception de ne pas avoir gagné est toujours présente. Finir deuxième, il me manque un petit truc. Après je n’ai pas à rougir. Le fait de faire 3 heures de plus que François et 78 jours, ça enlève un peu de déception. Mais je pense avoir compris pourquoi j’avais perdu cette course. A 99%, je suis content de mon parcours.

    Sur François Gabart

    Je savais que François avait bien préparé son Vendée avec son équipe. Il a été bien entouré et conseillé. Il avait été très difficile à battre déjà lors des entrainements à Port la Forêt. Pour moi, au départ, c’était l’un des favoris, même s’il n’avait pas l’expérience des mers du Sud. Après, j’ai été surpris par la cadence qu’il a tenue. Il n’a jamais lâché le morceau. Je me disais qu’il allait lâcher le morceau, mais j’ai vite compris que ça allait être un coriace jusqu’au bout.

    Les retombées médias

    Demain dans la presse, ça sera François le vainqueur et moi deuxième. Mais bon, c’est la vie. Ce n’était pas un très bon week-end de toute façon : Federer a perdu, les Français en hand aussi et moi je fais deuxième, ce n’est pas génial. (rires)
    Je mets 11 jours de moins qu’il y a quatre ans. C’est énorme mais pour l’instant je ne m’en rends pas compte. Je n’ai pas eu le temps de souffler et d’analyser ça pendant la course.

    Ses trajectoires

    Sur l’eau, je suis allé jouer un peu plus avec les anticyclones. Avec la voile que j’avais, je savais que je pouvais aller vite dans ces zones là. J’ai été très content de mon passage à la porte de Crozet. Pour moi, c’était un petit coup sympa et bien tactique. J’étais content de pouvoir en placer de temps en temps. C’est pour ça que je fais de la course au large, pour jouer avec la météo et faire des plans tactiques. J’essaye à chaque fois de trouver la route idéale mais François l’a trouvée mieux que moi.

    Revenir malgré tout

    J’ai cru pouvoir revenir dans le pot au noir. Je croyais beaucoup à l’anticyclone des Açores, mais les cierges allumés un peu partout en Bretagne n’ont pas suffit. Quand j’ai commencé à lancer des routages à partir du Cap Vert, j’ai compris que ça allait être difficile avec environ 100 milles d’écart. Mais il ne fallait rien lâcher non plus. Je pense que si j’avais été à 20 milles de François cette après-midi, je pense que la fin de course n’aurait pas été la même avec beaucoup plus de pression.

    Info ou intox

    Bien sur, le but est de ne pas dire nos points faibles. Dire que tout va bien, c’est un peu de l’intox de temps en temps. En termes de performance, je n’ai pas été mobilisé par un gros problème technique. Je n’avais rien de grave à cacher même si j’ai eu plusieurs petits soucis. Ça fait partie de la course et du Vendée. Mais on a l’équipe technique qui fait un super boulot derrière pour aider à réparer. Je pense qu’on a un peu sous estimé la force des hydrogénérateurs à haute vitesse et du coup j’ai cassé un support au bout de trois jours. Mais j’en ai reconstruit un après et j’ai même été félicité par mon équipe technique.

    En guise de bilan

    Ce n’est pas les mêmes émotions qu’il y a quatre ans. Il y a quatre ans, j’étais amaigri et content de finir. Là, j’étais en forme. J’étais surtout à faire le bilan et à me dire qu’au final, c’était une belle course avec François. Cet après-midi, je ressentais de la déception. L’objectif du départ était de gagner. De finir à quelques heures, c’est rageant. Mais avec la remontée du chenal, la déception est vite passée et je suis content de ce que j’ai fait, je n’ai pas à rougir. François a été meilleur, il a gagné et fait une super course. Je suis très fier de mon bateau et de mon équipe qui a fait un super boulot.
    Ça va mieux qu’il y a quatre ans physiquement. Je n’ai pas beaucoup dormi la nuit dernière mais globalement, ça va. Je suis content d’être arrivé. Maintenant, il va falloir gérer toutes les émotions. Je remercie vraiment Banque Populaire parce qu’on a un super programme pour les deux prochaines années. Je suis content d’être derrière François qui a fait une super course.

    • Armel Le Cléac’h : 99% heureux, 1% déçu •

  • Premier Vendée Globe, première victoire, plus jeune vainqueur de l’épreuve, recordman de vitesse sur 24 heures, détenteur du nouveau temps de référence à battre, François Gabart a battu tous les records de cette 7e édition. Emu aux larmes, de la ligne d’arrivée jusqu’au podium devant la foule réunie dans le Village, François s’est repu de ces moments rares.

    Pieds nus, le visage à peine marqué par ses 78 jours et 2 heures de mer, François Gabart a ensuite pleinement joué le jeu des questions – réponses avec la presse. Il a livré du même coup le portrait d’un garçon terriblement lucide, mais aussi sensible et authentique.

    D’un objectif à l’autre

    Je pense que je suis parti sur cette course sans l’optique de gagner. Ce n’était pas mon objectif numéro 1. Avec MACIF, on voulait faire une belle course. Dire que je voulais finir premier, ça aurait été trop ambitieux avant le départ. Mais à un moment donné, quand on était dans l’Indien et que j’ai doublé Armel, je me suis dit que je pouvais jouer la gagne ».

    Une chaude dernière nuit

    La dernière nuit a été franchement dure. Les conditions ont été difficiles et j’aurais pu tout perdre. Tu dois être à l’attaque sans prendre de risque. Dans 40 nœuds, ce n’est pas facile. Quand tu prends des surfs à cette vitesse dans le noir au milieu des cargos et des pêcheurs, ce n’est pas simple. Quand on passe les rails de cargos, c’est le plus facile. Avec l’AIS, on les repère bien donc c’est facile. On sait qu’il n’y a pas de pêcheurs. Dans le golfe de Gascogne, ce n’est pas la même chanson car il y a beaucoup de bateaux de pêche. La nuit dernière, je savais qu’il y avait un bateau pas loin mais je ne le voyais pas.

    Merci Armel

    Je vais dire merci à Armel. Merci de m’avoir fait vivre cette compétition parce que sans lui, elle n’aurait pas eue lieu. Et merci aussi d’être rester derrière (rires).
    C’est quelque chose d’extraordinaire d’avoir vécu cette course côte à côte. J’ai vécu un Vendée Globe extraordinaire grâce à lui. Il n’y a pas eu de moments de calme. C’était du combat tout le temps. Il n’y a jamais eu d’accord de ne pas s’attaquer dans le Grand Sud.
    Depuis quelques années, le chemin que j’ai parcouru est hallucinant. A la conférence de presse de Michel Desjoyeaux en 2008, je venais de devenir pro depuis 6 mois. Aujourd’hui, je suis là, c’est juste hallucinant.

    Si tu te relâches tu peux être puni

    Ce qui est difficile, c’est qu’il n’y a pas une seule galère. Sur le Vendée Globe, il y a des galères tous les jours. C’est pour ça qu’il faut être concentré sur les trois mois. C’est très fatigant. Même à la fin, si tu te relâches, tu peux être puni. Il faut éviter d’accumuler les problèmes, mais j’ai eu de la chance aussi de ne pas les accumuler au même moment.
    La nuit dernière a été très difficile car c’était la dernière et il y avait énormément de mer. Beaucoup de vent, plus de 40 nœuds et il y avait aussi beaucoup de trafic. Ça aurait été trop bête de prendre des risques alors qu’il ne restait plus qu’un jour de course. Je pense que ma position a changé ma façon de gérer cette nuit. Si Armel avait été 5 milles devant moi, j’aurai envoyé le gennaker.

    Je ne pensais pas avoir cette énergie en moi

    Je me surprends moi-même. C’est chouette et je ne sais pas quand ça va s’arrêter. Sur le Vendée Globe, on découvre des choses sur soi. Je ne pensais que j’avais cette énergie là et je ne pensais pas que j’étais capable de supporter tout ça. Chaque jour, tu penses avoir vécu le pire et tu ne veux pas que ça se reproduise mais ça revient le lendemain et ainsi de suite.

    Chaque problème rend plus fort

    La première grosse avarie que j’ai eue, c’est un problème de moteur au 5-6e jour de course, au niveau de Madère. J’avais un moteur en plus des deux hydrogénérateurs que j’ai cassé à ce moment là. Ce n’était pas vraiment un problème sauf que si tu grilles ton back up d’énergie au bout d’une semaine, ce n’est pas l’idéal. Il a fallu gérer ce petit bazar et ça m’a pris pas mal de temps pour réparer tout ça. Après ce premier gros problème, je me suis senti beaucoup plus fort. Je me suis dit : « voilà, j’ai su réparer tout ça et je suis capable de le résoudre ». Au final, à chaque fois que tu as un problème et que tu arrives à le résoudre, tu te sens très fier. C’est pour ça que j’ai l’impression de bien avoir progressé pendant la course.

    Le Grand Sud ? Coup de vent puis réparation puis coup de vent puis réparation

    Je n’étais pas été trop surpris par les mers du sud. C’était tout l’intérêt de ma préparation avec Michel notamment. Je m’étais super bien renseigné. La seule chose qui m’a surpris pendant ce Vendée, c’est ma capacité à enchainer les manœuvres. Le Vendée Globe, c’est assez simple : tu pars, tu prends des gros coups de vent dans lesquels tu ne peux rien faire sur le moment, ensuite tu répares ce qui a cassé et voilà. C’est ça tous les jours. En fait, quand il y a du vent, c’est limite les moments où tu ne peux le plus te reposer. Quand le vent mollit, c’est surement le plus dur.

    Adrénaline, passion

    L’adrénaline, j’en avais pris un petit paquet. Quoi d’autre ? Je ne sais pas. De la passion sans doute, de la fascination. Ça m’a permis d’avancer tout au long de la course.
    Je ne sais pas si j’ai envie de repartir sur un Vendée, c’est trop tôt. Il faut que je prenne le temps de me reposer un peu, de faire quelques nuits. Là, je ne repartirai pas n’importe comment. Si tu n’as pas l’envie de le faire, je pense que le Vendée Globe est une punition. Aujourd’hui, je n’ai pas les tripes pour refaire le Vendée Globe, mais peut-être que dans deux jours, je l’aurai. Mais une chose est sûre : c’est que je ne ferai jamais le Vendée Globe si je n’ai pas la foi.

    Bilan médical

    On a un suivi médical toute l’année avec le pole Finistère course au large. Là, c’était juste un petit check pour vérifier que tout allait bien avec une petite prise de sang. On a fait aussi une pesée. J’ai pris quelques grammes (rires). J’avais assez à manger pendant ce Vendée. Je crois que je ne voulais pas me rationner du tout. J’étais parti avec 87 jours + 7 jours au cas où. Je pense que c’est très bien car on brule des calories sur le bateau et les dernières semaines, il a fallu cravacher. Mais là, je pouvais choisir ce que je voulais, donc j’étais content. J’ai pu aller picorer un peu partout puisqu’il me restait plus de nourriture que prévu.

    Son bateau et lui

    Je suis très fier du bateau et je le dis au nom de toute l’équipe qui a bossé pour construire ce bateau. Le deuxième bateau qui arrive (Banque Populaire) est quasiment le même, donc je crois que Hubert Desjoyeaux a fait du bon boulot. Je suis fier d’avoir navigué sur ce bateau. Pendant la construction, j’étais plus spectateur qu’autre chose. Pendant cette course, je pense que je me suis approprié le bateau. Je le sentais très bien et c’est vraiment très chouette de vivre ça.

    Les communications avec ses proches

    Je n’ai pas beaucoup parlé avec ma famille, ni avec ma femme et mon fils. Une fois par semaine je pense. Il y a eu beaucoup de mails mais c’était très difficile d’écrire sur le bateau car ça bougeait beaucoup. J’étais surtout très heureux de lire les mails que je recevais. Mes parents, j’ai du les avoir deux fois pendant la course, c’est tout. J’étais vraiment concentré et ce n’est pas facile de penser à autre chose.

    A propos de sa retenue quant à ses difficultés pendant la course

    Au début de la course, je n’étais pas convaincu que j’allais rester très réfléchi dans mes propos. Je voulais partager ce que je vivais de manière spontanée. Et puis est arrivé rapidement ce problème de moteur et du coup, j’ai revu ma façon de partager les choses. Ça aurait pu être perçu comme une faiblesse et par la suite, j’ai préféré garder les choses pour moi. J’ai vécu trois mois de compétition intense et je ne pense pas que j’étais préparé à ça. Du coup, je ne pouvais pas me permettre de laisser transpirer quelque chose pour permettre à Armel de profiter de ça. Je suis resté dans cette logique, mais ce n’était pas simple, car c’est contre ma nature. Je voulais à l’origine partager mes problèmes mais vu que j’étais totalement dans la compétition, j’ai gardé ça pour moi.

    • Il faut la foi, sinon c’est une punition •

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