Simon Koster
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  • Ite Missa Est

    C’est quasiment une certitude, les alizés devraient accompagner les Minis jusqu’à l’arrivée à Pointe-à-Pitre. En tous cas la flotte ne mollit pas sur la route de la Guadeloupe. Du nord au sud, il n’y a plus vraiment

    8 novembre 2015 • Classe Mini, Course au Large, Mini Transat • Vues: 2110

  • Le ventilateur atlantique

    Les Ministes continuent d’affoler les compteurs. Qui aurait dit qu’un solitaire pourrait tenir plus d’une semaine à plus de 11 nœuds de moyenne (vitesse sur l’eau) ? Et c’est pourtant ce que sont en train de réaliser

    7 novembre 2015 • Classe Mini, Course au Large, Mini Transat • Vues: 2255

  • Le compte est bon…

    Pour imaginer le rythme imprimé par la tête de course de la Mini Transat îles de Guadeloupe, il suffit de consulter les statistiques. Depuis le départ de Lanzarote, les leaders ont parcouru près de 1600 milles sur le fond,

    6 novembre 2015 • Classe Mini, Course au Large, Mini Transat • Vues: 2044

  • Duel au soleil et bande des quatre

    Moins de 5 milles, c’est en distance au but, l’écart qui séparait le premier du quatrième prototype au classement de 15 heures. En série, c’est aussi une bagarre de chaque instant entre les deux frères ennemis des

    5 novembre 2015 • Classe Mini, Course au Large, Mini Transat • Vues: 2384

  • Gare aux faux-pas

    L’Atlantique continue d’être avalé goulument par les Minis propulsés par l’alizé. Seuls les empannages ainsi que les différentiels de vitesse continuent de créer des écarts. Placer le bon empannage dans le timing

    4 novembre 2015 • Classe Mini, Course au Large, Mini Transat • Vues: 2385

  • Vagues à larmes

    C’est aussi ce qui, paradoxalement, fait le sel de la Mini Transat îles de Guadeloupe. Pour qu’elle soit belle, pour que l’on s’y attache autant, elle a besoin de se nourrir non seulement de grands bonheurs, mais aussi

    3 novembre 2015 • Classe Mini, Course au Large, Mini Transat • Vues: 2704

  • Délimitation de vitesse

    Après quarante-huit heures de course, les choses rentrent dans l’ordre. A bord des Minis, chacun retrouve son rythme propre même si la pression de la compétition, ajoutée parfois à un peu de mal de mer pour certains,

    2 novembre 2015 • Classe Mini, Course au Large, Mini Transat • Vues: 2720

  • Choix cornéliens avant le grand saut

    Un vent soutenu, les marques qu’il faut reprendre à bord après trois semaines d’escale, une mer désordonnée, les conditions étaient propices à quelques petits bobos sur la flotte. Plusieurs des solitaires ont d’ores

    1 novembre 2015 • Classe Mini, Course au Large, Mini Transat • Vues: 2464

  • C’est par un vent soutenu de nord-est et une mer agitée que les concurrents de la Mini Transat îles de Guadeloupe se sont élancés à l’assaut de l’Atlantique. Pour la plupart, les concurrents ont préféré jouer la prudence, compte tenu des conditions météo (vent de 25 nœuds en moyenne) et du fait que les bateaux étaient chargés pour traverser l’Atlantique. Sur les pontons avant le départ, l’émotion était palpable.

    Les dernières minutes à terre ne sont jamais très simples pour les navigateurs solitaires. Tous sont partagés entre l’envie d’en découdre au plus vite et ce mélange d’appréhension et de légère culpabilité de laisser leurs proches à quai. Pudiques ou expansifs, chacun à sa manière, essayait d’évacuer la difficulté de ce moment pour pouvoir se concentrer sur sa course.

    Jean-Baptiste Daramy (Chocolats Paries)

    « Ça fait du bien de partir, j’avais hâte. Je ne sais pas encore quelle toile je vais mettre, il va falloir être prudent pour les premières heures de course. »

    Vincent Grison (Roll My Chicken)

    « J’ai regardé sur le site de la Transat Jacques Vabre, on a des chances de croiser la route des Class40. Ce serait amusant que je croise Sam Manuard qui est l’architecte de mon bateau, on aurait de quoi causer sur l’Atlantique. »

    Ian Lipinski (Entreprises Innovantes)

    « Ça va, je me sens bien. J’ai un peu de marge, ça devrait me permettre de faire un départ prudent. Ce qui est certain, c’est que si des gars attaquent pied au plancher je ne vais pas prendre le risque de les suivre et de casser. »

    Davy Beaudart (Flexirub)

    « Ça va, tout est prêt. Il y a forcément un peu plus de tension parce que traverser l’Atlantique, ce n’est pas anodin. Je vais surtout essayer de naviguer proprement, c’est le meilleur moyen de se faire plaisir. »

    Victor Turpin (Générations Océan)

    “Je suis quand même un peu stressé, ça doit se voir sur mon visage. Mais j’ai hâte d’y aller. On va avoir pas mal de vent pour les premiers jours et je sais qu’il va falloir aller vite, parce que les autres ils vont partir vite. Que faut-il faire, foncer ou préserver le bateau ? On verra”.

    Nikki Curwen (Go Ape! Live Life Adventurously)

    « Je suis un peu stressée, mais excitée à l’idée de traverser l’Atlantique. Il faut y aller maintenant. Ça fait trois ans que j’en rêve… »

    Yury Firsov (Magnum Sport)

    “Je me sens bien, je suis prêt à partir. La météo est bonne, tout est paré. Je vais faire du sud comme tout le monde avant de mettre cap à l’ouest ”.

    Chris Lukerman (CA Technologies)

    “Ça va. Je suis un peu nerveux à cause du vent qui est fort pour les premières heures de course. Mais il est vraiment temps d’y aller. On va pouvoir faire de la glisse comme on espérait.”.

    Jan Heinze (Lonestar)

    “Je suis content de partir après toutes ces journées passées à terre et le nombre d’années pour préparer ce projet. Je suis fier d’être là. Il y a mon père, mon coach qui sont là, mais le reste de ma famille viendra plutôt en Guadeloupe. »

    • Ils sont partis ! •

  • Hautes pressions

    A quelques heures du départ de la deuxième étape, la pression monte sur les pontons de Lanzarote. Suivant leurs caractères, les coureurs cherchent à évacuer le stress inévitable à l’heure de traverser l’Atlantique.

    30 octobre 2015 • Classe Mini, Course au Large, Mini Transat • Vues: 2081