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« La voile, c’est comme le bon vin : plus tu vieillis, meilleur tu es » racontait Erwan Tabarly à son arrivée à Fort-de-France hier matin. Le vainqueur de la Transat Bretagne – Martinique ne croit pas si bien
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33 minutes d’écart après 21 jours de course et 4 548 de milles parcourus… La place de dauphin de la Transat Bretagne – Martinique 2013 a été pour le moins disputée. Gildas Morvan (Cercle Vert) et Fabien
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Après 20 jours de course, 4 455 milles parcourus à la vitesse moyenne de 6,95 noeuds, Erwan Tabarly (Armor Lux – Comptoir de la Mer) a franchi en vainqueur (avant jury)la ligne d’arrivée à Fort-de-France à 12 h
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Rentrés hier soir par l’arrière de la flotte, le vent et les grains ont resserré un peu les rangs de la Transat Bretagne – Martinique. En tête, Erwan Tabarly (Armor Lux – Comptoir de la Mer) a vu son avance
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Comme des astronautes, ils ont vécu dans leur bulle. Seuls, sur un bateau de 10 mètres de long, abrités dans un habitacle de 3m2. Une expérience qu’ils n’oublieront jamais. « Il y aura un avant et un après »
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Alors qu’il reste moins de 300 milles à parcourir pour les premiers, les solitaires de la Transat Bretagne – Martinique profitent d’un vent d’une petite vingtaine de noeuds sur une mer plate pour glisser
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Tout donner. Se dire que ce sont les bords de la dernière chance. A moins de 500 milles du but, il y a encore du jeu sur la terre battue de l’Atlantique. Si Erwan Tabarly (Armor Lux – Comptoir de la Mer) tente
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Sodebo annonçait hier matin à Paris son programme de sponsoring Voile pour les saisons à venir. En deux ans, Thomas Coville, skipper de la marque, va s’attaquer à un nouveau record en solo autour du Monde à bord du
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Pas de grain, pas de nuage : la nuit est plutôt tranquille pour les solitaires de la Transat Bretagne – Martinique. En apparence en tous cas, puisqu’à 500 milles de l’arrivée à Fort-de-France, il n’est
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Un peu de répit après ces dernières 24 heures difficiles. Les solitaires, fourbus par les multiples empannages, fatigués par les bascules de vent incessantes, la grosse mer et les grains violents, ont pu se reposer plus de