Diam24OD
Posts

  • Régularité est le maître mot !

    Toutes les séries de cette édition de la Normandy Sailing Week ont enfin pu entamer la compétition, et toutes ont joué un rôle en ce troisième jour d’épreuve. A commencer par la flotte des IRC 1/2/3 qui était de retour

    13 juin 2015 • Diam 24, IRC - ORC, J80, Monotypie, Normandy Sailing Week, Régates • Vues: 3106

  • Une météo capricieuse

    Malgré une météo lourde et orageuse avec de faibles brises de vent pour alimenter nos régatiers du jour, les DIAM 24OD ont pu effectuer le raid de l’Estuaire du début à la fin tandis que les Croiseurs IRC et J/80 ont

    12 juin 2015 • Diam 24, IRC - ORC, J80, Monotypie, Normandy Sailing Week, Régates • Vues: 2800

  • Il fallait être opportuniste

    Cette première journée s’est avérée complexe nerveusement pour les seize équipages engagés sur la Normandy Sailing Week, et c’est CombiWest skippé par Fred Guilmin qui prend la tête du classement général provisoire

    11 juin 2015 • Diam 24, IRC - ORC, Monotypie, Normandy Sailing Week, Régates • Vues: 2069

  • Ultime répétition avant le Tour de France à la Voile

    Dès demain, et jusque dimanche, ils seront seize équipages à s’affronter en Baie de Seine pour cette sixième et dernière épreuve du circuit Diam 24, la Normandy Sailing Week. Quatre jours de régates qui permettront à

    10 juin 2015 • Diam 24, IRC - ORC, Monotypie, Normandy Sailing Week, Régates • Vues: 2092

  • 10 ans de bons et loyaux services !

    Déjà 10 ans ! 10 années qui ont fait de la Normandy Sailing Week LE GRAND RENDEZ-VOUS de la voile en Manche. Depuis hier, cette 10ème édition a ouvert ses portes aux nombreux équipages qui sont venus préparer les bateaux

    10 juin 2015 • Diam 24, IRC - ORC, J80, Monotypie, Normandy Sailing Week, Régates • Vues: 2059

  • Créé en 1978 par Bernard Decré, le Tour de France à la Voile rassemble à la fois des équipages amateurs et professionnels. S’il a beaucoup évolué depuis son origine, il se dispute aujourd’hui en Diam 24 et appartient, depuis 2012, au groupe Amaury Sport Organisation qui a clairement affiché son ambition : « faire de l’épreuve une grande fête de toute la voile. Comme le Tour de France est une grande fête du cyclisme. » Pas étonnant, donc que les meilleurs navigateurs français, parmi lesquels Erwan Tabarly, aient choisi de l’intégrer à leur programme sportif. A la veille de la conférence de presse programmée à J-1 mois de la 37e édition par les organisateurs de l’épreuve, au Parc Nautique de L’île Monsieur, à Paris, le skipper d’Armor Lux – Comptoir de la Mer nous en dit un peu plus sur ses motivations et ses ambitions, évoque le plateau puis le bateau, et revient également ses souvenirs de la course à laquelle il a participé quatre fois, à l’époque où elle se disputait en Mumm30.

    Le format du nouveau Tour de France à la Voile

    Tous les nouveaux changements sont intéressants puisque nous allons régater sur des bateaux plus funs, plus spectaculaires et au plus près du public. Nous allons pouvoir enchaîner jusqu’à six ou sept courses de 20 à 30 minutes par jour. Ce sera donc intense, avec beaucoup de manœuvres. Cela s’apparentera clairement à des sprints. Par conséquent, il faudra être devant tout de suite et ne pas se dire que l’on pourra se refaire dans la durée car ce sera globalement difficile. Le côté « spectacle », souhaité par les organisateurs, va être assez sympa pour nous car il va rajouter un peu d’adrénaline sur les départs et aux passages de bouées. Le Diam 24 est un bateau rapide et comme c’est un trimaran, il est aussi assez volage ce qui demande un peu de dextérité, surtout lors de régates au contact. Le fait d’alterner des petits parcours construits avec des côtiers me plait également beaucoup. Sur les premiers, c’est essentiellement la tactique qui prime tandis que sur les seconds, il y a un peu de nav’ à faire car il faut gérer d’avantage les courants et les effets de site, puis s’appliquer à la conduite du bateau. Les deux sont sympas. En ce qui me concerne, je prends énormément de plaisir à courir en multicoque. C’est vraiment excitant de réussir à maîtriser ces petits engins et d’essayer de les faire avancer le plus vite possible.

    Les villes étapes

    Neuf actes entre Dunkerque et Nice, via Fécamp, Pornichet, Roscoff, Les Sables d’Olonne, Roses, Gruissan et Marseille : ça s’annonce sympa ! Les villes étapes en Atlantique, je les connais toutes. J’ai aussi déjà fait escale à Gruissan, Marseille et Nice, que ce soit en Figaro Bénéteau ou en Mumm 30, en revanche, je ne connais pas la ville Espagnole inscrite au programme de la course. Je suis content d’aller découvrir de nouveaux plans d’eau. Tous vont offrir des conditions de navigations très variées, forcément, ce n’est pas pour me déplaire.

    Les souvenirs du TFV

    J’y ai participé quatre fois, entre 2000 et 2005. Trois fois sur Région Ile-de-France et une fois sur le bateau Thalès, mais à chaque fois uniquement sur deux ou trois étapes. Mon meilleur souvenir reste la 9e étape du TDF 2004, dont l’arrivée était jugée à Locmiquélic, sur les terres de Jimmy Pahun, le skipper du Mumm30 parisien qui, forcément était heureux d’arriver en vainqueur chez lui. Moi j’officiais à la nav’ et nous avions vraiment fait une belle course dans le Four et le Raz de Sein… Ca avait vraiment était bien.

    Les objectifs sur cette 37e édition

    C’est toujours difficile de se fixer de réels objectifs dans une nouvelle série, mais le fait est qu’il faut en avoir. Aujourd’hui, nous sommes évidemment moins dans l’incertitude qu’en début de saison. Nous savons que deux ou trois grosses équipes sont un peu au dessus du lot, mais d’un Grand Prix à l’autre, nous pouvons voir que tous les équipages progressent et que le niveau monte. En conséquence, finir dans les dix premiers, ce serait satisfaisant pour nous.

    Le plateau

    Comme je l’ai dit, il y a deux-trois équipes qui dominent depuis le début de la saison, et ces dernières semaines, d’autres ont fait de gros bonds en avant. Néanmoins, cela reste assez ouvert. Rien ne va rester figé, c’est certain. Nous ferons des bonnes journées et des moins bonnes. Les autres aussi. Pour l’instant, il n’y a vraiment que Groupama, Spindrift et Combiwest qui parviennent à vraiment être réguliers. La constance sera l’une des clés de la réussite sur le Tour de France. Il faudra réussir à être bon dans les changements d’équipage. Pour l’instant, à bord d’Armor Lux – Comptoir de la Mer, nous avons des configurations dans lesquelles nous nous sommes bien entraînés et qui fonctionnent bien. Nous allons devoir en avoir d’autres aussi bien rôdés pour être vraiment performants. Nous devons mettre cela en place rapidement.

    Le programme d’ici au coup d’envoi de la course, le 3 juillet prochain

    Mon Diam 24 doit être livré demain. Je suis content de recevoir enfin mon bateau, tout sera plus simple et cela va nous nous permettre de naviguer plus sereinement. Cela étant dit, je vais avoir pas mal de préparation à faire dans les prochains jours afin d’être au point lors de la Normandy Sailing Week, qui aura lieu entre le 10 et le 14 juin prochain, au Havre. Ce sera alors la dernière course avant le Tour de France à la Voile. Dans la foulée, je ferai une petite pause avec le multi pour m’entraîner en 60’ IMOCA avec Armel Le Cleac’h, sur Banque Populaire VIII durant quinze jours, avant de rejoindre Dunkerque d’où sera donné le coup d’envoi du TDF.

    • Des changements super intéressants ! •

  • Une mise à l’eau réussie pour Aurélien Ducroz

    Moins d’un mois après avoir rangé les skis au placard, Aurélien Ducroz a fait son retour sur l’eau, à bord de son nouveau bateau, un DIAM 24, à l’occasion du Grand Prix de l’Ecole Navale qui se déroulait ce week-end

    20 mai 2015 • Diam 24, Grand Prix de l'Ecole Navale, Monotype, Monotypie, Régates • Vues: 3446

  • Le jury du Grand Prix de l’Ecole Navale a statué, tard hier soir, deux Diam 24 ont écopé d’une disqualification pour être passés dans une zone interdite à proximité de l’île Longue, hier, lors du raid côtier. Cette décision a fait les affaires de l’équipage d’Armor Lux – Comptoir de la Mer qui est ainsi remonté de deux places au classement, décrochant du même coup sa place en finale Or. Reste que celle-ci n’a pas pu avoir lieu, la faute à un vent évanescent sur le plan d’eau de Lanvéoc-Poulmic qui a contraint le comité de course de la classe à annuler la journée. Forcément, qui dit pas de manche dit pas de changement au général. Erwan Tabarly, Julien Villion, Philippe Legros et Nicolas Lunven terminent donc 12e de l’épreuve.

    Erwan Tabarly quel bilan tirez-vous de ce 14e Grand Prix de l’Ecole Navale ?

    Nous avons vu certaines choses, et notamment que c’était compliqué de tourner à bord, mais nous n’aurons pas trop le choix sur le Tour de France à la Voile, cet été. Nous devons impérativement trouver des solutions pour que l’équipage fonctionne dans un maximum de configurations différentes. Celle d’hier n’était peut-être pas géniale… Il va falloir en tester d’autres. Aujourd’hui, nous en avons une bonne, mais ce n’est pas suffisant. Nous devons multiplier les journées d’entraînement mais pour diverses raisons, ce n’est pas si facile.

    Il y a, cependant, eu beaucoup de positif…

    Oui. Pour commencer, ce qui est bien, c’est que nos manœuvres passent assez bien et que nous arrivons à faire avancer le bateau. Nous avons pu le remarquer à différentes reprises, et notamment sur le premier côtier. Bien que nous ne naviguions pas encore avec notre bateau, nous ne souffrons pas de problèmes de vitesse par rapport au reste la flotte. Cela étant dit, nous avons encore des allures sur lesquelles nous pouvons progresser, en particulier celles où il faut un peu charger le bateau, dans le vent fort, sous gennak ou au reaching.

    Quels sont les autres points que vous souhaitez améliorer ?

    Ce qu’il faut aussi que l’on travaille, c’est, d’une part les départs et d’autre part la communication à bord pour que l’on arrive à faire les bons choix tactiques, même quand ça va vite. Depuis le début de l’année, c’est toujours Julien Villion qui a géré cette partie là. Lorsqu’il est là, nous sommes rodés mais si nous changeons de configuration, c’est un peu moins bon. Nous l’avons vu hier. De fait, Nico n’a encore jamais vraiment fait ça. C’est important d’arriver à trouver nos marques avec lui car comme ça se joue à un mètre ou à une seconde près, nous nous retrouvons vite couverts ou obligés d’aller là où nous n’avons pas envie d’aller. En Diam 24, les décisions doivent être prises instantanément.

    C’est aussi cela qui fait que le jeu est très ouvert…

    C’est vrai. A l’issue de la première journée, nous étions sixièmes. Nous n’avons pas réussi à tenir noter place mais si ca avait couru aujourd’hui, nous aurions tout aussi bien pu remonter de plusieurs places. En fait, ce qui nous manque actuellement, c’est un peu de constance. Nous arrivons à faire des bonnes choses mais nous devons parvenir les faire plus régulièrement. Cela étant dit, je suis quand même assez satisfait de ce GP car nous sommes dans le coup et nous avons une grosse marge de progression. J’arrive tout juste dans une classe que je ne connais pas et je n’avais jamais fait de dériveur de ma vie, ni de catamaran de sport. Etre 6e à l’issue de la première journée, c’est plutôt encourageant pour quelqu’un qui, jusqu’ici, n’a fait que du solitaire et du large.

    Un mot sur la suite ?

    Entre le 27 et le 30 mai, je vais récupérer mon bateau qui sortira tout juste du chantier. Nous allons donc devoir le monter et le gréer. Nous aurons alors pas mal de préparation à faire. Dans la foulée, nous essayerons de faire un stage d’entraînement avec d’autres bateaux. Ensuite, du 10 et 14, nous participerons à la Normandy Sailing Week, au Havre. Ce sera alors la dernière course avant le Tour de France à la Voile.

    • Erwan Tabarly Multicartes ! •

  • Franck Cammas sacré champion de France des monotypes

    Le Grand Prix de l’Ecole Navale s’est achevé aujourd’hui dans la pétole. Le Comité de Course, qui avait réussi à lancer une manche pour le rond or, a été finalement contraint d’annuler la course faute de vent. Pas

    17 mai 2015 • Diam 24, Grand Prix de l'Ecole Navale, Monotype, Monotypie • Vues: 2665

  • Leaders d’hier… Vainqueurs d’aujourd’hui !

    C’est un vent très faible qui attendait ce matin l’ensemble des compétiteurs, que ce soit à Crozon-Morgat, à Camaret ou bien à l’Ecole Navale à Lanvéoc-Poulmic. En raison des situations sur les deux zones de courses,

    17 mai 2015 • Grand Prix de l'Ecole Navale, Monotype, Régates • Vues: 3086