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Quand les premiers toucheront terre en Guadeloupe, certains auront encore la moitié de l’Atlantique à avaler avant de goûter au ti punch réparateur, de retrouver les copains, la famille. Comble d’infortune, l’alizé
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En proto comme en série, les têtes de course ont fait le trou. En revanche, derrière eux, les écarts sont toujours aussi serrés. C’est vrai des avant-postes comme du gros du peloton. Chacun trouve toujours un adversaire à
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Alors que les leaders continuent d’affoler les compteurs, qu’ils ne comptent plus la distance qui les sépare de l’arrivée qu’en centaines de milles, le gros des troupes entame tout juste la deuxième partie de parcours.
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C’est quasiment une certitude, les alizés devraient accompagner les Minis jusqu’à l’arrivée à Pointe-à-Pitre. En tous cas la flotte ne mollit pas sur la route de la Guadeloupe. Du nord au sud, il n’y a plus vraiment
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Les Ministes continuent d’affoler les compteurs. Qui aurait dit qu’un solitaire pourrait tenir plus d’une semaine à plus de 11 nœuds de moyenne (vitesse sur l’eau) ? Et c’est pourtant ce que sont en train de réaliser
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Pour imaginer le rythme imprimé par la tête de course de la Mini Transat îles de Guadeloupe, il suffit de consulter les statistiques. Depuis le départ de Lanzarote, les leaders ont parcouru près de 1600 milles sur le fond,
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Moins de 5 milles, c’est en distance au but, l’écart qui séparait le premier du quatrième prototype au classement de 15 heures. En série, c’est aussi une bagarre de chaque instant entre les deux frères ennemis des
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L’Atlantique continue d’être avalé goulument par les Minis propulsés par l’alizé. Seuls les empannages ainsi que les différentiels de vitesse continuent de créer des écarts. Placer le bon empannage dans le timing
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C’est aussi ce qui, paradoxalement, fait le sel de la Mini Transat îles de Guadeloupe. Pour qu’elle soit belle, pour que l’on s’y attache autant, elle a besoin de se nourrir non seulement de grands bonheurs, mais aussi
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Après quarante-huit heures de course, les choses rentrent dans l’ordre. A bord des Minis, chacun retrouve son rythme propre même si la pression de la compétition, ajoutée parfois à un peu de mal de mer pour certains,