C’était, a priori, la dernière « prune », le dernier jour de vents forts, de survitesses et de possibles sorties de route. La tentation était évidemment forte de maintenir un rythme élevé pour tenter de gratter des
La chevauchée furieuse des premières heures de course a laissé la place dans l’après-midi à un temps mollasson où le vent fait subitement défaut. La mer est toujours présente entravant la bonne marche des bateaux,
Ça souffle depuis le départ et le ventilateur n’est pas près de tomber en panne. Les solitaires partis hier au soir de Horta alignent les milles avec voracité. Nicolas Boidevezi (ImaginAlsace) a, quant à lui, déjà