Dans moins de 15 jours exactement, la 6e édition des Voiles de Saint-Barth s’ouvrira, sur la perle française des petites Antilles. Un programme de huit jours haut en couleur, sur l’eau comme à terre, un site exceptionnel, des grands noms de la voile, des bateaux hors-normes… Tout est réuni pour faire de cette course, un évènement unique dont nous vous proposons aujourd’hui de faire le tour, en quelques chiffres, afin d’en connaître tous les détails.

• 1 : un parrain de prestige pour les Voiles de Saint-Barth, Loïck Peyron, récent vainqueur de la Route du Rhum.
• 2 : les deux navigateurs élus meilleurs marins de l’année en 2014 : Loïck Peyron et Terry Hutchinson
• 2 : le nombre de médaillés olympiques présents sur les Voiles de Saint-Barth. L’Américain Peter Holmberg qui régate à bord de Spookie de Steve Benjamin et le néo-zélandais Craig Monk qui navigue aux côtés de Hap Fauth sur Bella Mente ont tous les deux performé en Finn. Le premier a décroché l’argent à Séoul en 1998 et le second à obtenu le bronze à Barcelone en 1992.
• 2 : le nombre d’équipages totalement féminins participant aux Voiles de Saint-Barth : Girl for Sail et Les Voiles au Féminin.
• 3 : le plus grand nombre de victoires dans l’épreuve par un concurrent dans une même classe. L’Américain George David s’est imposé en 2010, 2011 et 2012 à bord de Rambler 90 puis de Rambler 100.
• 5 : les skippers qui ont participé aux six éditions. Patrick Demarchelier, Raphael Magras, George David, Mowgli Fox et Alain Charlot
• 6 : le nombre des éditions de la course, celle-ci ayant eu lieu pour la première fois en 2010.
• 6,80 : en mètres, le tirant d’eau du Maxi Comanche. A titre de comparaison, celui d’un monocoque IMOCA fait 4,50m.
• 10 : le nombre de bateaux engagés à bord desquels on dénombre un ou plusieurs équipiers ayant participé à des campagnes de l’America’s Cup.
• 12 : c’est le nombre de pieds dont l’Américain George David a réduit son nouveau bateau par rapport au précédent, Rambler 100. Un parti pris avec l’architecte du monocoque, Juan Koujoumdjian, afin de gagner en rapport poids– puissance… et donc en performance.
• 14: les nationalités des pavillons des bateaux (USA, Grande-Bretagne, Pays-Bas, Espagne, Barbade, Autriche, Portugal, Irlande, France, Allemagne, Afrique du Sud, Brésil, Lithuanie et Trinité et Tobago…)
• 22 : le nombre de bateaux en lice mesurant 60 pieds et plus.
• 23 : c’est le nombre de skippers inscrits aux Voiles de Saint-Barth de nationalités Américaine. Les Français sont presque aussi nombreux puisqu’ils sont, à ce jour, 22. Viennent ensuite les Britanniques au nombre de 14 et les Hollandais au nombre de 4.
• 24 : en pieds, la taille des plus petits bateaux de la flotte de cette 6e édition. Trois Melges 24 (7,31m), en effet, constituent les rangs : Boost’n Sail, Team Island Water World, Budget Marine.
• 25 km2 : superficie de Saint-Barth
• 28 : le nombre d’équipiers à bord de Comanche en course.
• 32 : la taille, en pieds, du plus petit multi des Voiles de Saint-Barth 2015. Il s’agit du CG32 (9,75m) Le Carré / Diamond Genesis d’Erik Maris.
• 40 : les nationalités de tous les marins présents
• 40 : les 40 pieds sont les bateaux les plus nombreux. Onze au total. First 40, Pogo40, Carkekk HP 40 ou encore X40, il y en a pour tous les goûts.
• 50 : médias accrédités
• 70 : en pieds, la taille du plus grand multicoque engagé dans l’épreuve. Phaedo3 de Lloyd Thornburg, l’ex MOD 70 Foncia de Michel Desjoyeaux.
• 78 : les inscrits aux Voiles de Saint-Barth le 31 mars 2015
• 100 : la taille de Comanche en pieds, soit 30,50m.
• 120 : le nombre d’intervenants sur la course
• 1200 : le nombre total de marins engagés dans la 6 e édition des Voiles de Saint-Barth
• 2014: Le dernier né est Rambler 88, mis à l’eau le 12 décembre 2014.
• 1500 : en m² la voilure de Comanche au portant (850m² au près), soit la taille de neuf terrains de volley-ball !
• 4000 : pieds représentés sur l’eau